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| Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:21 | |
| ✰✰✰ No me gusta les citationes. Dure vie ~ Silaene.
Samuel Sanderson ≈ surnom: Sam ≈ age: 24 ans. ≈ études/métier: Coach au High School Kennedy ? ≈ statut civil: Célibataire ≈ lieu de naissance: Lewisburg ≈ nationalité: Américain. ≈ orientation sexuelle: Aux dernières nouvelles, il était hétéro. Il ne s’est jamais vraiment posé la question, qui vivra verra. depuis combien de temps vis-tu à Lewisburg ? toujours. ≈ famille: Il est fils unique, ses parents sont toujours ensemble et vivent à Lewisburg ≈ quel genre de voisin es-tu ? Le genre pas souvent là, Samuel aime faire la fête. ≈ statut social: Samuel aurait pu devenir un grand sportif avant sa blessure, mais ça c’était avant. Il a perdu toute sa popularité. Il≈ aspirations de vie: Samuel était très carriériste, à présent, il n’a plus grande aspiration.≈ qualités et défauts: Il ne manque pas de confiance en lui, il est colérique, impulsif, obstiné. Il vit avec la colère et le regret. Il est méfiant, n’accorde pas facilement sa confiance mais s’avère, derrière toute sa prétention (et parfois même un brin d’égocentrisme) être un ami fidèle et loyal. Il est également intelligent et malin. Il a un bon rapport avec les enfants, depuis peu, il n'est pas patient de nature. ≈ le massacre du jeudi 18 avril 1996: Si ses parents ont complètement flippé suite à cette tragédie, Samuel n’en a pas spécialement souffert. Il était jeune, et une séance de thérapie plus tard, le jeune homme n’en a pas eu de séquelles. ≈ groupe: A new life ≈ avatar: Colton Haynes ≈ crédits: Tumblr. ✰ we're all pretty bizarre, that's all. Jusqu’à ses 20 ans, Samuel avait pour philosophie de vie « un corps saint, dans un esprit saint », une connerie du genre. Il ne fumait pas, ne buvait pas non plus. Sa drogue ? Le sport. De haut niveau, à dire vrai. Il passait énormément d’heures à s’entrainer. Samuel était très ambitieux. Depuis son incapacité à pratiquer, Sam a rapidement changé de régime. Du gras, du nocif, de l’ivresse. Il pratique toujours du sport mais en salle pour se maintenir en forme. L’apparence est importante pour lui, son image, il déteste qu’on le voie en mauvaise posture, vulnérable. Il cache aisément ses émotions par pudeur, orgueil. Pendant son rétablissement, Samuel s’est mis à lire, écrire ses émotions pour se défouler, pour passer le temps. Ça lui a plu. Il a une culture cinématographique nulle à chier. Son tempérament de sportif péteux ne lui a pas uniquement apporté des amis, mais Samuel était populaire et n’en avait rien à faire. Après sa journée de travail, il n’est pas rare de le voir trainer pour boire une dernière bière dans un bar sportif, supportant son équipe favorite. Le week end, et durant ses vacances, Samuel n’hésite pas à prendre sa caisse pour se barrer pour se dépayser. prénom/pseudo: Silaene âge: 22 ans. où as-tu connu LIA: Bouche à oreille fréquence de connexion: Autant que l'envie m'en prend :D c'est votre dernier mot ? Yep, yep (préférez les gifs de 250px.)
- Code:
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<pris>◈ Colton Haynes </pris> - [i]Samuel Sanderson[/i]
Dernière édition par Samuel Sanderson le Lun 14 Juil - 22:06, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:21 | |
| ✰ sweetie, you couldn't ignore me if you tried. « Alors, voilà. Je dois écrire quelques lignes, une sorte de bilan, et après, j’en aurai fini de faire payer des frais d’honoraires de psy’ à mes parents. Après tout, c’est eux qui ont insisté pour que j’y aille.
Après ça, j’aurai fait le fameux « deuil » de mon ancienne vie. A cette heure-là, j’aurai pu être en train de jouer le match de ma vie, un truc de fou mais paraît que je ne dois pas me torturer avec ce genre de pensées. Je le fais quand même parce que ça m’emmerde toujours. Un peu moins, mais toujours. Heureusement que personne lira ce torchon. Qu’est ce qui m’est arrivé ? Un truc tout con, en fait. Il était une fois, un mec, plein de mecs en fait, dans un bar. Un soir, comme un autre, c’était un samedi. Je ne sais même plus quelle genre c’était, mais probablement une où je m’étais promis de la faire soft, et que finalement non. Je ne sais pas si j’étais plus con qu’un autre, mais au final, je me suis retrouvé à me battre avec un mec. Faut dire que je prends vite la mouche, comme dirait l’autre. Je me suis fait éclater comme l’une d’entre elle d’ailleurs. Mais genre, bien. J’ai fini à l’hosto. J’étais bourré, j’avais pas mal. T’inquiètes, c’est venu ensuite. Une histoire de doubles tendons du ligament de fracture, et tout le tralala. Je ne suis pas un doc’, j’ai rien capté, j’ai juste chialé ma race ; parce que putain, ça faisait mal.
Le mec, lui, paraît qu’il s’est fait arrêter, qu’il est même allé en taule, d’après mon père. « C’était bien fait pour sa gueule ». Moi je m’en foutais, je ne me suis même pas pointé au tribunal. Qu’ils se débrouillent, ma vie était assez pourrie comme ça.
Alors voilà, le retour du guerrier à la maison. Ma mère paniquait comme une folle, pareil pour mon père. Pas par compassion, non. Il voulait que je fasse comme lui, en fait. Que je sois un grand sportif, que je remplisse le salon de trophées. Je le voulais aussi, mais c’était mort. Alors lui, il était dégoûté. Moi j’ai fait ma dépression. Normal. Je me suis laissé pousser une barbe dégueulasse, genre hipster. C’était moche. Ma mère a essayé de me la raser un soir, dans mon sommeil. Ça lui faisait honte. Faut dire que je suis du genre propre. Toujours bien fringué, toujours beau gosse, toujours entouré de mecs bien virils et de nanas bien bonnes. Avec toute cette merde, je pouvais dire adieu à la bourse, adieu au sport. See ya. J’ai essayé de me ressaisir, même qu’après que ma pouffe d’ex m’ait largué juste avant la rentrée, parce que j’étais plus aussi cool, forcément, j’avais un peu les boules. Mes parents ont insisté pour me payer des études, malgré tout, à l’université (ouais, ils ont de la thune à jeter par la fenêtre). C’était pas celle à laquelle j’aspirai, ce n’était pas le cursus de mes rêves. Il n’y avait même pas de sport là-dedans. C’était un putain de truc de commerce. Genre, je vais vendre des trucs – ils avaient quand même pigé que mon truc, ce n’était pas les bureaux, mais bon. Au final, j’ai bien merdé cette affaire aussi. Comme il fallait s’y attendre, je kiffais plus les nanas et les soirées étudiantes que les théories commerciales. C’est là que ma mère s’est dit que j’avais un problème dans ma tête et qu’il fallait que j’en parle à quelqu’un, vu que je ne suis pas un bavard des sentiments.
Un an à la fac pour pas grand-chose, donc. J’étais censé faire un truc de ma vie, quand même. Moi, j’étais toujours dans mon délire dans lequel je ne me voyais pas faire autre chose que sportif professionnel. Je savais que je n’étais pas trop con, mais bon, faut dire que nous, les sportifs, on n’est pas considérés comme des lumières non plus. Je n’avais rien envie de branler, en fait, ça saoulait mes parents. D'ailleurs mon père en a plus rien à carrer de ma tronche depuis que je ne suis plus une étoile montante du sport. Comme quoi... Il était aussi temps que je coupe le cordon de toute façon. J’avais 21 piges et je voulais un appart. Je suis un peu capricieux des fois. J’ai plein de défauts, en vrai, je suis pas un bisounours mais y a que moi qui a le droit de le dire.
Bon, parce qu’il faut quand même un dénouement à tout ça (sinon en vrai, je serai toujours sur ce putain de canapé en cuir à raconter des trucs inutiles à cette psy). J’aurai pu changer de région, mais j’ai décidé de rester dans le coin. Pendant un jogging matinal, j’ai erré comme une âme en peine devant un stade. J’ai bloqué devant ces gosses qui jouaient, qui s’entrainaient. Au début, j’étais dégoûté, mais je me suis dit que je pouvais arrêter de chialer à l’intérieur et faire quelque chose de ma vie, faut que je m’ajuste. Je me suis dit que je pouvais devenir coatch. C’est un peu la destinée de tous les sportifs déchus, en fait. Je m’en fous, ça me branche bien. Avec cette illumination de malade, j’ai retrouvé un brin d’ambition et je l’ai faite cette formation. J’ai tout bien géré, en même temps, j’en doutais pas, et même si le jour des résultats j’ai feint un sourire confiant, j’étais quand même super content.
C’est là que j’ai recommencé à vivre, en fait. Pour de vrai. »
Dernière édition par Samuel Sanderson le Mar 15 Juil - 21:10, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:23 | |
| on fait des bébés ? xD bienvenue ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:28 | |
| J'ai cru voir que tu voulais faire des bébés avec tout le monde, je ne me sens pas spécial XD Merci ! La suite de ma fiche, je la posterai ce soir, j'ai oublié le document word chez moi * * |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:31 | |
| Ouais, c'est vrai ça, elle me trompe avec tout le monde. Quelle vilaine hein ? En tout cas BIENVENUE |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:42 | |
| Miaouuuw Paraît qu'on s'connaît En tout cas bienvenue par ici et si tu as besoin n'hésite pas Bon courage pour la fin de ta fiche |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 13:45 | |
| Huhu (a) C'est exact ! J'hésiterai pas à crier si je suis perdue :D Merci |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 14:06 | |
| COLTON Bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 14:28 | |
| Héhé :D Merci à toi ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 17:04 | |
| colton, ça faisait un moment que je ne l'avais pas vu et le prénom samuel bienvenue parmi nous, merci pour ton inscription ! si tu as la moindre question, nous sommes là |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 18:06 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 19:08 | |
| Ton avatar + le prénom Samuel Bienvenue ici |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 21:19 | |
| Colton Bienvenue parmi nous |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 21:58 | |
| - Rapahaëlle Waters a écrit:
- awolnation
bienvenue parmi nous Huuuuhu :D Bien vu ! Quel accueil merci ! Et contente que le prénom et l'avatar vous plaise :D |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Lun 14 Juil - 22:04 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Mar 15 Juil - 1:09 | |
| le gif dans ta signature : shoulder porn. Bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Mar 15 Juil - 8:37 | |
| - Leon Trépagnier a écrit:
- le gif dans ta signature : shoulder porn.
Bienvenue Haha :D Je suis d'accord ! Merci encore pour les messages, d'ailleurs j'ai fini ma fiche \o/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Mar 15 Juil - 11:05 | |
| Yop Yop j'te valide officiellement J'ai bien aimé le coup de la mère qui essaie de raser son fils pendant la nuit, j'ai imaginé la scène complètement délirante et ça m'a fait rire Bref, tu peux aller jeter un petit coup d’œil ici pour te retrouver, sait-on jamais. Et si tu as encore besoin de quoi que ce soit, tu sais où me trouver Bon RP ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Baby when I'm yelling at you, it's not your fault [Samuel Sanderson] Mar 15 Juil - 11:14 | |
| Merciiiiiiiiiiii ** Hahaha XD j'avoue, je me suis bien marrée en imaginant la scène aussi X'D C'est ce que je ferai si j'avais un pote qui aurait une barbe du genre ====> XD Je vais aller checker le ptit guide |
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