Sujet: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:35
۞۞۞ He used to call me DN, that's stood for Deadly Nightshade, cause I was filled with poison but blessed with beauty and rage Ultraviolence ~ Lana Del Rey.
Gabriel O'Hara
≈ surnom: Il se présente la plupart du temps comme Stan, Gabriel sonnant à son goût beaucoup trop angélique, ce qu'il n'est pas ≈ age: trente-deux années à évoluer dans les ténèbres ≈ études/métier: Vendeur dans une boutique ésotérique, bien qu'il possède de grandes conaissances littéraire, études qu'il a négligé≈ statut civil: Célibataire puisque sa philosophie étant "L'amour est une faiblesse" ≈ lieu de naissance: Salem, Massachusetts ≈ nationalité: Américaine avec de très lointaine origine britannique ≈ orientation sexuelle: Gay, bien qu'il ai du mal à s'assumer ≈ depuis combien de temps vis-tu à lewisburg ? Quelques mois à peine ≈ famille: Des parents désespérés aux point de m'avoir envoyé dans une famille d’accueil par le passé et une sœur décédée ≈ quel genre de voisin es-tu ? Le genre de voisin à commérer sur celle d'en face, celui qui rentre à pas d'heures avec une nuit en moins et s'en fou. Celui qui laisse les lumières éteintes quand on frappe pour qu'il puisse comater en paix et qui n'a pas honte de se balader presque à poil à sa fenêtre≈ statut social: Normal, je n'ai pas chercher à gratter de l'argent à mes parents fortunés ≈ aspirations de vie: Liberté, fêtes et sexe ≈ qualités et défauts: franc, loyal et ouvert d'esprit & antipathique, vaniteux et pervers ≈ le massacre du jeudi 18 avril 1996: Au risque de passer pour un enfoiré... Cela aura sans doute diminuer l'émanation de CO2. Et puis, j'ai horreur des enfants. ≈ groupe: The Newbies ≈ avatar: Ian S(h)o(t)merhalder ≈ crédits: Tumblr
✰ we're all pretty bizarre, that's all. Adore cuisiner ۞ Lit de nombreux romans à la fois ۞ Ecoute des chansons assez mélancoliques ۞ Adore les autruches, les chats et les phoques ۞ Adore faire les magasins ۞ Commère dans l'âme ۞ Ne cherche pas à se faire des tonnes d'amis ۞ Il possède de nombreuses pierres ۞ Parfume son appartement avec de l'encens ۞ Adore la botanique ۞ Sportif, il fait chaque matin son footing ۞ Peu pudique ۞ N'hésite pas à dire la vérité telle qu'elle est, que ça plaise ou non ۞ N'aime pas parler de sa vie et quand ça arrive, il dit que ses parents sont morts ۞ Possède de nombreux secrets ۞ Cherche absolument à se tenir le plus loin possible de l'amour, car il sait que cela peut le faire faiblir ۞ N'aime pas les photos et autres souvenirs ۞ Parle couramment le français et l'italien
prénom/pseudo: Aaron/dark.fire âge: 17 piges où as-tu connu LIA: Top-site obssession fréquence de connexion: Autant que possible ! Chaque jours sauf en période de cours, au minimum 3j/7 dans ces moments là c'est votre dernier mot ? Balenciaga !
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<pris>◈ Ian Somerhalder </pris> - [i]Gabriel O'Hara[/i]
Dernière édition par Gabriel O'Hara le Lun 14 Juil - 12:43, édité 2 fois
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:35
✰ sweetie, you couldn't ignore me if you tried.
Oscar Wilde a dit que l'homme grandit, mais il ne devient pas bon pour autant. Pour ma part, je trouve que cette phrase est beaucoup trop légère pour décrire la chose et surtout, limitée. Imaginez une personne qui naît dans une famille aimante, aisée et ouverte d'esprit. Plus les années passeront, plus il grandira et il sera entouré d'un environnement saint et il n'y a donc pas de raisons pour que la personne ne devienne pas une bonne personne. Imaginez en revanche une famille qui galère dans la société, sur les nerfs et égoïstes, des clichés comme les parents adoptifs de Causette des Misérables. Je prend un exemple extrême mais qui est fort rependu quand on prend le temps d'y réfléchir. Cette personne qui naît dans cet environnement là se trouvera directement posée sur une pente glissante et il devra se battre pour au moins avoir la chance de bien vivre. Pour ce qui est de sa bonté, c'est bien différent. Tout ça pour dire, que si j'avais été Oscar Wilde, j'aurais dis que l'homme grandit, mais il ne devient bon seulement si c'est qu'il désire le plus au monde.
J'avais six ans lorsque ma sœur est décédée d'une overdose. J'étais trop petit pour comprendre de quel façon elle venait de mourir donc mes parents se sont contentés de dire qu'elle c'était endormie pour toujours. Ce que mes parents n'avaient pas remarqués, c'est que je m'étais endormi en même temps qu'elle. A partir de ce moment là mes parents aimants ont décidé d'être plus présents que jamais et malgré leur deuil ont décidé qu'il était mieux pour nous trois de quitter la ville. C'est au bout de deux ans que cela c'est produit, deux ans pour laisser à ma mère le temps de finir son deuil. J'avais huit ans, j'étais encore jeune pour comprendre que ce ça signifiait de mourir, de faire le deuil. Pourtant déjà à huit ans j'avais l'impression d'être plus intelligent, de comprendre plus de choses sur la mort que les adultes. Et pour cause, je n'ai jamais pleuré ma sœur parce que je savais que d'un côté, c'est ce qu'elle voulait « mourir jeune, c'est l'immortalité ». Et à huit j'ai enfin compris ce qu'elle voulait dire : elle allait rester la même, une adolescente de dix-sept ans, joyeuse et blagueuse qui n'allaient pas changer et laisserait dans nos esprits la marque de la personne qu'elle était jusqu'à ses dix-sept ans.
Avec le temps, mes parents ont enfin vus que sa mort m'avait affecté, ils ne comprenaient pas pourquoi je n'étais pas comme les autres garçons de mon âge et ils ont vite mis cela sur le compte du lien que j'entretenais avec ma sœur qui fut brutalement rompu et une possible dépression. J'étais distant. Je parlais peu et ne souriais jamais. Je ne me mêlais pas aux autres et je me fichais de ce qu'ils pouvaient dire sur moi. J'ai du voir un psychologue pour me sortir de cette histoire, j'ai vite compris qu'il ne me lasserait pas en paix tant que je ne serais pas remis d’aplomb... Du moins tant qu'il ne le penserait pas. J'ai du mettre à profit mes talents de comédien afin de donner l'impression d'être comme tout le monde. Je détestais ça, me fondre dans la masse comme un mouton, mais c'était ça ou passer plusieurs heures par semaines à raconter ma vie à un inconnu qui j'étais persuadé, attendait seulement de pouvoir me tripoter. Mais avec le temps, j'y suis arrivé. Ça a duré une année, une année à être quelqu'un que je n'étais pas, créant un autre moi juste pour rassurer mes parents. J'avais refusé, je ne voulais pas mais en y réfléchissant je devais le faire, pour mes parents. Ils avaient perdus de façon rapide leur fille, je ne pouvais pas me permettre de les laisser voir leur fils disparaître lentement. Donc, à quatorze ans j'ai enfin pu passer mon temps libre comme je l'entendais du moment que devant mes parents, je souriais, racontai mes journées de cours en feignant que je partais jouais au foot avec des amis, voir ma copine...Tout ce genre de trucs. En cours aussi je devais dans la majorité du temps porter ce masque, les professeurs était au courant de mon passé et la psychologue m'avait à l’œil. Mais dans le dos de toutes ces personnes je vivais, du moins c'était ça vivre pour moi. Être allonger dans l'herbe, observer les nuages en écoutant le bruit de l'eau en refaisant le monde, faire des ronds avec la fumée d'une cigarette, ne pas réfléchir à la façon dont j'excuserais mon devoir non rendu de demain... En réalité, pour moi vivre, c'était faire le vide pour me détacher du monde dans lequel je vivais. C'est là qu'il m'arrivait de parler avec ma sœur en lui révélant la chance qu'il avait de pouvoir faire ce qu'elle voulait maintenant, sans qu'une personne la freine en l'obligeant à être quelqu'un.
C'est au lycée que j'ai rencontré un garçon. Il était grand, beau pour peu qu'on aime les mauvais garçons. Il me faisait sentir vivant et surtout, celui que j'étais vraiment ne le dérangeait pas. C'est avec lui que j'ai vite compris que j'étais gay. Autrefois, l'amour et tout ce qui allait avec me passait au dessus de la tête. Mais quand je l'ai rencontré j'étais au moins sûre que j'étais gay. Nous sommes sortit ensemble durant plus d'un an. Mois durant lesquels je réfléchissais moins à la mort et aux autres choses macabres. A cette époque là, j'avais compris pourquoi la vie valait la peine d'être vécus.
Mais le bonheur ne fut que de courte durée quand on le vit.
Trompé, c'est le mot qui m'avait définis. Je n'ai jamais assumé mon attirance pour les hommes et donc je n'ai jamais pu en parlé à qui que ce soit quand j'ai appris qu'il était avec un autre, pendant que nous étions toujours ensemble. J'étais surpris moi même de voir à quel point les sentiments pouvaient m’affecter. Je me suis de nouveau renfermé, séchant les cours et c'est à ce moment là que j'ai fais une tentative de suicide en avalant des cachets. Personne ne le sus et vous savez c'est quoi le pire ? C'est le matin, quand vous vous réveillez et que vous êtes toujours en vie alors que vous avez fermés les yeux en ne désirant qu'une chose : partir. Je n'ai jamais dis cela à qui que ce soit, à la place j'ai continué d'avancer comme bon me semblait : sexe, drogue, alcool, violence, délits. J'ai tout tenté pour avoir une chance de sentir quelque chose à nouveau, quelque chose qui aurait pu me donner une raison de vivre. Sans sucés, l'homme que j'aimais était partit avec ma capacité de ressentir les choses.
Quand mes parents ont vus la façon avec laquelle je déraillai, c'en était trop pour eux. Ils m'ont placés dans un service spécial où j'allais finir jusqu'à ma majorité. Je n'ai pas éprouvé de peine à cette annonce et pour cause, quand j'ai appris la nouvelle j'ai fumé un joint et fait mes affaires, attendant le moment venus. Par la suite j'ai vécus dans une famille d’accueil, dans un petit village du Kansas. Ils étaient plus cool bien qu’intolérants concernant la drogue et l'alcool. Je leurs devais bien puisqu'ils me laissaient tel que j'étais en sachant qui j'étais mieux que mes parents biologiques le savaient. Ils savaient que j'aimais les hommes, ils connaissaient mon vis à vis sur la mort et une tonnes de petits trucs que les parents sont censés savoir sur les enfants. Pour être franc je n'oubliais pas la douleur mais jusqu'à ma majorité, j'ai bien vécu dans cette famille, m'attachant presque à eux. Je dis bien presque. Quand je pus partir, je n'ai pas hésité une seule seconde de plus : me voilà partit, des adieux en cartons sans dire où j'allais en prenant un vol pour la Nouvelle-Orléans. Là bas, la débauche a reprit du service alors que je travaillais comme barman. Sexe chaque soirs, alcool coulant à flot et tout ce qui s'en suit. Mais étant constamment en manque de nouveauté, j'ai migré ailleurs, tout en restant dans les états du sud. Et c'est au gré du vent que je me suis laissé dirigé vers Lewisburg.
Dernière édition par Gabriel O'Hara le Lun 14 Juil - 2:42, édité 7 fois
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:37
C'EST UN GARÇON
bienvenue
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:38
bienvenue ! OWI IAN ! J'aime encore pluuus, je vais aller te faire des bébés et Ian ira te taper
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:41
Hâte de voir ce que tu vas en faire du coup Très bon choix Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:42
Welcome !!!!
Ariel veut faire des bébés avec tout le monde !!
Bon courage pour ta fiche
Et IANNNNNNNN
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 21:46
Adriel C. Jennings a écrit:
Ariel veut faire des bébés avec tout le monde !!
soit pas jaloux
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 22:05
bienvenue.
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 22:48
ian bienvenue parmi nous et merci pour ton inscription ! si tu as la moindre question, le staff est là pour toi
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 23:41
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Dim 13 Juil - 23:41
Ian Bienvenue
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 2:44
Merci à vous tous pour votre accueil
Ariel > Même si j'adore Emma (nonc'estpasvraimaispassimplepolitesse), je vais refuser ta demande *sort le drapeau arc-en-ciel des gays*
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 10:30
gabriel a écrit:
≈ le massacre du jeudi 18 avril 1996: Au risque de passer pour un enfoiré... Cela aura sans doute diminuer l'émanation de CO2. Et puis, j'ai horreur des enfants.
horrible
Citation :
Adore les autruches, les chats et les phoques
ça m'a tuée
alors pour moi tout est parfait, il y a juste une petite chose qui me gêne, c'est la différence d'âge entre l'acteur et ton personnage. nous acceptons trois ans de différence, du coup il faudrait qu'il ait 32 ans. voilà, après ça je pourrai valider.
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 12:45
J'ai arrangé ça m'sieur
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 13:40
Sail - Awolnation *_*
Juste pour ça, je t'aime déjà. XD
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 13:43
Bienvenuuuue parmi nous ! Si jamais tu as besoin surtout n'hésite pas ** Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 13:57
Et moi juste pour Colton je t'aime déjà aussi *_*
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 14:02
Mraw
Je sens que je vais revenir vers toi quand je serai validée haha
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 14:19
Ouh yeah
Et merci Madison, j'avais pas vus ton message sorry
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Sujet: Re: (go'h) Love is Weakness Lun 14 Juil - 17:05
alors tout est parfait cette fois, je te valide ! n'hésite pas à jeter un coup d'oeil au guide pour savoir quoi faire bon jeu parmi nous !