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| (ezra) first step to death. | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: (ezra) first step to death. Ven 20 Juin - 22:42 | |
| ✰✰✰ cheaters never win. crédits ~ peterpan.
EZRA TOBIAS SWETHENAM ≈ surnom: on le surnom de temps à autre ez', mais il ne supporte pas les surnoms en règle générale. ≈ age: il a fêté cette année ses trente-trois ans. ≈ études/métier: ezra travaille comme shérif de lewisburg depuis peu. son travail c'est sa fierté. avant ça, il a fait un an d'études de droit et un peu de psychologie en parallèle, grâce à une ex, avant de passer le concours pour entrer dans la police. ≈ statut civil: éternel célibataire, il a eu quelques relations qui n'ont mené à rien parce qu'il y a toujours une ombre dans le tableau : sa soeur. ≈ lieu de naissance: lewisburg, louisiane. ≈ nationalité: il a la nationalité américaine. ≈ orientation sexuelle: les femmes sont sa faiblesse. il a essayé de s'intéresser aux hommes lors de sa jeunesse, pour ... l'expérience. mais ça n'a rien donné. ≈ depuis combien de temps vis-tu à lewisburg ? depuis toujours. il y est né et y mourra probablement. ≈ famille: il a une petite soeur de dix ans sa cadette, claris. son frère, rory, est mort dans la fusillade. quant à ses parents, ils ont quitté lewisburg il y a six ans parce qu'ils ne supportaient plus d'y vivre. ≈ quel genre de voisin es-tu ? le genre discret, qu'on n'entend pas. le genre qui évite ses voisins parce qu'il n'aime pas discuter météo ou ragot du quartier. ≈ statut social: aisé, sans plus. ≈ aspirations de vie: l'argent, la famille. ≈ qualités et défauts: souriant, sérieux, efficace, séducteur, loyal, protecteur, malin, curieux, observateur, passionné, sarcastique, susceptible, jaloux, dynamique. ≈ le massacre du jeudi 18 avril 1996: le massacre hantera sa vie à jamais. il se souvient de ce jour, parce qu'il arrivait à l'école avec sa mère et sa soeur pour récupérer son frère rory. il se souviendra toujours des hurlements, des larmes, du sang. d'une certaine manière, cet évènement a influencé son choix de carrière : il est devenu flic pour protéger les gens de telles horreurs. ezra vivra avec cette date gravée dans l'esprit pour toujours. ≈ groupe: living in the past. ≈ avatar: jamie dornan. ≈ crédits: fyeahjamiedornan. ✰ we're all pretty bizarre, that's all. accro au café, impossible de lui adresser la parole le matin avant qu’il ait bu le premier. ni le deuxième. (~) il passe son temps à arrêter de fumer et à s'y remettre. il est dépendant de cette foutue drogue et ça le rend dingue. (~) c'est un fêtard invétéré qui, malgré son rôle au sein de la ville, aime sortir et boire des verres. il fait simplement attention de ne pas aller trop loin en public. (~) ezra n'aime pas beaucoup les animaux. il a un chat, everboom, qui laisse ses poils partout. il ne se laisse cependant pas approcher par les chiens dont il est terrifié. (~) amateur de cinéma en noir et blanc et de vieux rock des années soixante, il a du mal avec ce qui se fait aujourd’hui. (~) il est nul avec les nouvelles technologies qui ne l’intéressent pas. enfin ça c’est ce qu’il dit, parce qu’il est de mauvaise foi. (~) il s'occupe de sa soeur qui vit chez lui depuis plus de six ans. cette cohabitation lui laisse peu de temps pour des relations plus intimes. (~) ezra n'a jamais eu de relation durable. il s'est toujours contenté de relations courtes et intenses. mais maintenant qu'il a dépassé le cap de la trentaine, il commence sérieusement à être anxieux. parce qu'au fond, il a envie d'une famille, comme tout le monde. (~) il fait un jogging tous les jours et s’efforce de garder la forme. (~) il parle couramment anglais, français et aussi étonnant que cela puisse paraître, le chinois. il a appris pendant ses années d'études, sans trop savoir pourquoi. (~) il rêve de faire le tour du monde en bateau (~) devenu shérif depuis quelques mois, il prend son boulot très à cœur et n’en est pas peu fier (~) prénom/peudo: justine, alaska. âge: dix-neuf ans. où as-tu connu LIA: merci bazzart fréquence de connexion: tous les jours ! voulez-vous être parrainé ? je me parraine moi-même ! c'est votre dernier mot ? oui jean-pierre - Code:
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<pris>◈ Jamie Dornan</pris> - [i]Ezra Swethenam[/i]
Dernière édition par Ezra Swethenam le Dim 22 Juin - 12:52, édité 7 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (ezra) first step to death. Ven 20 Juin - 22:42 | |
| ✰ sweetie, you couldn't ignore me if you tried. « Maman ? Maman, qu'est-ce qu'il se passe, là ? » Ezra commençait à paniquer. Les sirènes de pompier et la foule agglutinée étaient inquiétantes, et le bruit insupportable. « Maman ... » « LA FERME EZRA ! LA FERME, TAIS-TOI ! » Il écarquilla les yeux et se tut. Dans le rehausseur à l'arrière de la voiture, sa sœur Claris, tout juste âgée de quatre ans, se mit à pleurer. Choqué, Ezra regarda sa mère se garer en trombe sur le trottoir et sortir de la voiture en courant pour se fondre parmi la foule. Il aurait aimé la rejoindre, mais la peur le paralysait. Il avait peur de comprendre. A quatorze ans, alors que la vie commençait à être une question perpétuelle, on voulait tout savoir. Mais la réaction de sa mère avait été une véritable douche froide. Et puis il ne pouvait pas laisser Claris seule dans la voiture. « Arrête de pleurer Claris, je t'en supplie … S'te plaît, tais-toi. Maman va revenir, elle est juste allée chercher Rory. » supplia-t-il en caressant sa main de la sienne, après s'être assis sur le siège passager à côté d'elle. Comme chaque fois qu'il était en sa présence, la petite fille cessa de crier. Ezra avait toujours réussi à accomplir des miracles avec elle. Ils partageaient un lien unique, que leurs propres parents enviaient. « Sois sage, d'accord ? Je vais voir ce que fait maman. Tu restes là. » dit-il avec douceur. Claris attrapa son tee-shirt et lui lança un regard suppliant. « Non, me laisse pas seule ici ! » Mais le garçon ne l'écouta pas. Il devait savoir ce qu'il se passait. Les jambes molles et le cœur battant, il sortit de la voiture pour rejoindre la foule de gens qui hurlaient, au rythme des sirènes des camions de pompier et de police. C'était intenable. C'est alors qu'il vit les premiers corps ensanglantés passer sur les civières. Ses yeux s'écarquillèrent. Des enfants. Des enfants qu'il connaissait, parce qu'ils avaient l'âge de Rory. Rory. Le cœur d'Ezra cessa de battre quand ce fut le tour de son frère d'apparaître, inanimé, porté par les pompiers. Sa mère poussait des cris déchirants et lui se contenta de tomber à genoux par terre. Son corps ne le portait plus, son esprit était embrouillé. Le monde lui parût tout d'un coup étrangement vide et dénué de sens. Il n'arriva ni à parler, ni à pleurer. Il ne se souvint même pas être rentré chez lui. Une partie de lui venait de mourir en même temps que son frère.
◈◈◈ « Installe toi, je dois aller bosser. Tu es chez toi maintenant, alors … Bienvenue. » Ezra posa sa main sur les cheveux de Claris en passant à ses côtés. « Ezra ? » l'interpella-t-elle avant qu'il ne descende. « Oui ? » Il se retourna et posa son regard gris sur sa sœur. Avec sa jupe trop courte, ses cheveux emmêlés et ses yeux et sa bouche trop maquillés, elle avait l'air d'une catin. Il détestait ça. C'était bien parce que son comportement dépassait tout le monde que leurs parents avaient décidé de quitter la ville en laissant derrière eux les horreurs qu'ils avaient vécu, en abandonnant à leur fils aîné cette fille qu'ils n'arrivaient plus à gérer. Comment pouvaient-ils penser qu'il pourrait s'occuper d'une gamine de seize ans ? « Merci, c'est cool. » Il hocha la tête et sourit brièvement, avant de la planter là. Depuis la fusillade, douze ans plus tôt, tout le monde avait perdu les pédales. Claris la première, alors qu'elle ne se souvenait même pas de ce qu'il s'était passé. Pour les habitants de Lewisburg, le temps avait cessé de passer et l'univers s'était écroulé. Toute leur vie était régie par ces événements qui avaient marqué les esprits à jamais. Ezra était incapable d'oublier. Parfois, la nuit, il se réveillait trempé de sueur et haletant, après avoir été hanté par les visions du petit corps de Rory étendu sur cette civière, couvert de sang. Hanté par les cris désespérés de sa mère qui ne ramèneraient pas le seul fils auquel elle pensait encore, le seul qui n'était plus de ce monde. Si il avait fait le choix de devenir flic, c'était pour cette seule et unique raison : il refusait que ça arrive de nouveau. Ezra aurait donné n'importe quoi pour protéger le monde entier, quand bien même c'était impossible. Mais il avait fait la promesse qu'il ne laisserait jamais plus jamais quelque chose de la sorte se passer à Lewisburg. « Alors, ta sœur ? » demanda son équipier avant de boire une gorgée de café quand il prit place au bureau. « Arrivée à midi. Je sens que ça va être difficile. » maugréa-t-il. L'autre haussa les épaules en prenant quelques notes sur une feuille vierge, partiellement plongé dans un dossier à traiter. « Claris t'obéit plus à toi qu'à n'importe qui d'autre. Ça va aller, tu verras. » « Hmm. » Ezra n'en était pas fermement convaincu.
« Est-ce que tu te rends compte que tu n'es jamais disponible ? » Ezra fronça les sourcils. « Qu'est-ce que tu racontes Dakota ? On se voit souvent ... » répliqua-t-il. « Souvent ? Tu te fous de ma gueule, Ezra ? La dernière fois qu'on s'est vu, c'était le week-end dernier ! Cinq jours ! On est plus des ados … Je ne veux pas juste te voir une fois de temps en temps, je veux passer mes nuits dans tes bras et ... » L'homme secoua la tête et croisa les bras sur son torse. « Non. » La jeune femme aux cheveux trop blonds écarquilla les yeux. « Non ? » répéta-t-elle. « Non. » confirma-t-il, catégorique. « Je dois m'occuper de ma sœur, en ce moment. Je ne la laisserai pas tomber, alors tu te contentes de ça, ou on arrête. » C'en fut trop pour la pauvre Dakota qui explosa : « Il n'y en a toujours que pour ta sœur, c'est comme ça depuis des mois ! Je n'en peux plus de ta sœur ! Claris est une garce, et tu la fais passer avant moi ! Me contenter de ça ?! Hors de question ! C'est fini ! » Elle hésita quelques instants, en pensant qu'Ezra allait la retenir. Mais il haussa simplement les épaules et alla se servir un verre de vin. Elle n'était pas la première à ne pas supporter cette situation et ne serait certainement pas la dernière. Depuis que Claris vivait chez lui, Ezra enchaînait les déceptions affectives. En cet instant, il eut plus mal qu'il ne l'aurait cru. Ces femmes ne lui plaisaient pas, il leur manquait quelque chose. Cette chose essentielle qui devrait le faire vibrer, le rendre accro. Ezra les regardait partir sans lever le petit doigt, sans un mot. C'était même une sorte de soulagement. Il n'avait rien à faire avec des femmes qui n'acceptaient pas sa sœur, parce qu'elle passerait toujours avant tout le reste. Il devait s'occuper d'elle, il l'avait promis. Mais Dakota ... Dakota, il avait pensé qu'elle pouvait avoir ce truc en plus. Visiblement, il s'était trompé, et ça faisait mal. En voyant qu'il ne réagissait pas, sa nouvelle ex tourna les talons et claqua la porte d'entrée. L'homme soupira en se laissant tomber sur le canapé, las. « Outch. La Tornade Blondie a dévasté le cœur de Monsieur Swethenam. » lâcha Claris en entrant dans la pièce. Ezra ricana et secoua la tête. « Non, ça va. Mais arrête de l'appeler Blondie, c'est Dakota. Pas Blondie. » Elle acquiesça, lèvres pincées. Sa sœur avait bien changé. Elle avait laissé tomber les jupes en cuir trop courtes, au profit de pantalons qui lui seyaient davantage. Ses cheveux étaient plus soignés, et son maquillage de pétasse envolé. Elle était ravissante, et beaucoup plus naturelle. « Les parents seraient fiers de toi si ils te voyaient comme ça. » ajouta Ezra. Claris sourit et se laissa tomber sur le canapé à côté de lui. « Tu parles. On n'existe plus pour eux, il n'y en aura toujours que pour Rory. » C'était un constat désolant, mais néanmoins réaliste, il ne pouvait pas le démentir. « Mes examens approchent, tu veux bien m'aider à travailler les maths ? » « Hm, bien sûr. » Claris se releva et sautilla jusqu'aux escaliers. « Merci ! » Ezra sourit. Elle faisait énormément d'efforts, il était fier d'elle à la place de leurs parents.
« Vous sentez-vous capable de tenir un tel rôle ? » demanda le Maire d'un ton sérieux. Ezra acquiesça d'un air solennel. « Oui Monsieur. J'ai juré de protéger cette ville, et je le ferai. » répondit-il. L'homme rit et tapa sur son épaule, visiblement ravi de cette réponse somme toute un peu clichée. Ezra se détendit et rit avec lui, bien que ce soit totalement nerveux. « Très bien, vous voilà promu Shérif. C'est une grande responsabilité, ne me décevez pas. » Il accrocha la broche en forme d'étoile sur la veste du jeune homme qui sentit son cœur s'emballer. Il avait travaillé dur pour en arriver là, sacrifiant sa vie sociale et son énergie. Enfin, ses efforts étaient récompensés ! Ezra hocha encore la tête, vigoureusement. « Je vous promets que vous ne le regretterez pas. » Après ça, il dut se coltiner le cocktail donné en l'honneur de son élection, durant lequel son travail consista uniquement à serrer des mains et sourire à tout le monde, en partageant son amour passionné pour son métier et ses plans pour sauver le monde. Il n'était pas un grand adepte des mondanités, mais ne crachait pas dessus pour autant. C'était parfait pour se créer un réseau de contacts influents, qui lui permettrait d'avoir du soutien en cas de lourde décision à prendre. Ces gens-là seraient par ailleurs plus à même de coopérer si ils venaient à être mêlés à une quelconque affaire. Tout était question de confiance. Et si Ezra devait en passer par la manipulation, alors il le ferait.
« Hé, Ez' ? » Il referma le frigo du pied et porta la canette de bière à ses lèvres. Claris se promenait avec son ordinateur portable dans les mains à travers la maison. Elle prit place sur le tabouret de leur cuisine américaine et pianota sur le clavier. « Est-ce que tu te souviens d'une Juni, qui a vécu à Lewisburg il y a super longtemps ? » Il prit place en face d'elle en réfléchissant quelques secondes. « Oui. Enfin je me souviens surtout de sa sœur aînée, qui était une amie de Rory. Elle … Elle fait partie des victimes, si mes souvenirs sont bons. Et Juni avait ton âge, vous jouiez souvent ensemble. Ses parents ont déménagé après la fusillade. Pourquoi ? » Claris posa son menton sur le dos de sa main et se mordilla la lèvre. « Elle m'a contacté parce qu'elle compte revenir en ville, et sa mère lui a dit qu'elle se souvenait de notre famille. Comme elle n'a personne d'autre, je suppose que je pourrais l'aider un peu. » Ezra esquissa un sourire doux. Si Claris s'occupait de quelqu'un d'autre qu'elle, ça signifiait qu'elle allait vraiment mieux. « Bien sûr, c'est une bonne idée. » Le silence revint.
La sonnerie retentit et Ezra sursauta. « Tu peux aller ouvrir, Claris ? » « Ouais, ça doit être eux ! » répondit-elle de la pièce voisine. « Eux ? » répondit-il en fronçant les sourcils. « Mais oui, je t'ai dit que Juni venait avec son petit-ami ! » Ezra ne s'en souvenait absolument pas : il était submergé de travail et tout ce qu'on lui disait quand il bossait ressortait directement par l'autre oreille. Il se replongea dans son dossier, les entendant à peine entrer. Il releva lentement les yeux vers les nouveaux venus. Son regard se posa sur celle qui devait être Juni. Juni. Avec ses cheveux roux flamboyants et ses yeux bleus, elle était réellement jolie. Ezra ne s'attendait pas du tout à ça. Il se leva et lui tendit la main, le cœur battant, sans pouvoir détacher son regard de cette fille. La gêne était visiblement partagée et cet échange de regard dura quelques secondes. Mais la voix de son petit-ami le fit revenir brusquement à la réalité et le shérif lui tendit la main à son tour. « Bienvenue à Lewisburg ! » déclara-t-il par politesse avec un sourire forcé, pour masquer son trouble. « Est-ce que vous voulez boire quelque chose ? » La soirée se passa bien, mais trop rapidement au goût d'Ezra. Il aurait pu passer des heures à observer Juni et à l'écouter parler. Ça ne lui était encore jamais arrivé. Jusqu'à présent, les femmes avaient eu très peu d’intérêt à ses yeux. Ce fut à la fin du repas que Claris annonça enfin la raison de son invitation. « Ez, tu ne pourrais pas embaucher June ? Il paraît que vous cherchez une nouvelle secrétaire, au commissariat ! » Pris au dépourvu, il se mordit la lèvre et se racla la gorge. C'était hors de question de la croiser tous les jours, au travail ! « Vous n'avez qu'à passer au commissariat lundi Juni, on en parlera. Je suis malgré tout obligé de vous faire passer un entretien, je ne peux pas embaucher comme ça. » Et merde. La jeune femme rougit légèrement. « Je serai là. » Ça sonnait comme une promesse. Comme le début de quelque chose. Mais le début de quoi ? Après ça, Ezra décida de s'intéresser davantage au petit-ami de la demoiselle, apprendre à le connaître et à l'apprécier, pour pouvoir crier haut et fort qu'il était l'amoureux idéal pour elle. C'était la meilleure chose à faire. Ce qu'il ressentait, c'était n'importe quoi. Il ne la connaissait même pas. Ça irait sans doute mieux le lendemain, de toute façon. « C'était cool, non ? » demanda Claris une fois qu'ils furent partis. Elle savonna l'assiette qu'elle lui tendit pour qu'il la rince. « Oui, c'était sympa. » Sa sœur avait l'air ravi et ne tenait pas en place. C'était la première fois qu'il la voyait comme ça, à croire que l'arrivée brusque de Juni avait autant chamboulé sa vie que la sienne.
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