PRÉNOM PRÉNOM WALTON ❝ entre 30-36 ans ≈ Propriétaire d'une chaîne de restauration et de tous ses produits dérivés - "Poetry" ( ou firme d'avocats)≈ Marié, aux dernières nouvelles. Même si l'information n'est jamais parvenue aux médias ( le célèbre magazine Forbes, notamment, le présentant toujours comme un business man épicurien, même s'il n'est rien de tout ça ) ❞
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≈ the world is an imperfect place.
≈ lieu de naissance: où tu veux, sur le sol américain, cependant. ≈ nationalité: Américain≈ orientation sexuelle: hétérosexuel. Il n'a jamais eu aucun doute là dessus. Jamais. Il apprécie trop les courbes féminines et les charmes que ces dames ont à lui offrir.≈ depuis combien de temps vis-tu à lewisburg ? il débarque. Il servira cette excuse à Amelia. La vérité c'est qu'il la surveille depuis des mois. Qu'il lui arrive de l'épier. D’enchaîner les voyages en jet , rester là à l'observer de loin pour aussitôt repartir. Parce qu'il n'a pas son temps. Parce qu'il retarde le moment. Parce qu'il n'y croit pas. Plus. Des fois. ≈ famille: à ton entière imagination. ≈ quel genre de voisin es-tu ? le voisin qui ne sait pas que tu existes. Qui fait sa vie sans se soucier de la tienne. Il est inaccessible. Il flirte avec ces étoiles que tu te contentes d'admirer, interdite. ≈ statut social: extrêmement riche. Il aime le luxe, ne s'en cache pas. Pourtant, il suinte cette humilité qui caractérise les indigents. Il est parfait. Sur le papier. ≈ aspirations de vie: argent - pourquoi pas ? Mais, il veut surtout une famille. Il a ras le bol d'attendre. Il veut l'amour, son amour. Il veut tout, veut tout vivre et tout vivre avec elle. Même s'il ne l'a jamais exprimé clairement, même s'il se planque derrière une répartie acerbe≈ qualités et défauts: dégueulassement lucide, ce n'est certainement pas un rêveur, ni un foutu idéaliste. - diplomate - obséquieux - roi du sarcasme - posé, réfléchi - généreux mais surtout pas charitable - parfois sans scrupule surtout lorsqu'il s'agit de mener à bien ses contrats - juste - ≈ groupe: THE NEWBIES. ≈ avatar:Gabriel Macht ou Christopher Egan négociable avec Zane Holtz, par exemple - mais bon, je tiens vraiment à Gabriel ou à Chris parce que Suits,Lettre à Juliette, Dominion. Cependant, ça reste négociable
≈ gone with the wind. ≈ le massacre du jeudi 18 avril 1996: c'est odieux. Même s'il condamne qu'un barjot ait massacré des gosses, ça reste quand même le cadet de ses soucis. Peut-être même qu'il n'en a même pas entendu parler. Pour peu qu'il ait eu d'autres soucis en tête. Pas la peine de lui rabâcher les oreilles avec. Il serait parfaitement du genre à vous lancer un " Laissez les cadavres planqués dans vos placards. Pas besoin que vous en fassiez l'attraction principale digne de l'office du tourisme" d'un cynisme qui vous donnerait envie de lui arracher les yeux.
≈ we're all pretty bizarre, that's all. Pour les besoins du scénario, on va le nommer Casey. L’histoire de Casey sera laissée à ton entière imagination. Evidemment, on prendra en compte qu’il aura toujours été élève modèle, quasiment genre idéal. Casey c’est des principes auxquels il tient. C’est un magnétisme indéniable. Casey c’est celui que l’on remarque. Tout de suite. Appelez ça charisme lié au fric ou à la bestiole même. C’est un homme d’affaire, c’est pour cela qu’il aura tendance à penser « bénéfices » bien avant de penser « sentiments ». Il en a. Il ne les cache pas. Malgré un orgueil exacerbé. Il sait reconnaître ses torts. Casey, il n’a pas un seul tatouage. Mais des tas de cicatrices. Sur le corps, sur le coeur, sur l'âme. Ça n’était visiblement pas un enfant sage. Plutôt enfant terrible. Je le vois bien accro aux technologies de communication notamment au cellulaire qu’il aurait d’greffer à l’oreille et qui, par le passé, aurait donné lieu à des prises de tête avec Amelia. Le reste, c’est à toi. Libre à toi de lui donner des manies adorables etc..c'est ton personnage, après tout.
AMELIA BECKETT-WALTON - ★★★☆☆
I acted like it wasn't a big deal, when really it was breaking my heart ❖
« Amelia » un prénom lancé, un soir, dans un appartement plongé dans le noir. Plongé dans le froid. L’absence criarde, hurlant comme un condamné face à la mort. L’émoi. La suffocation. « Amelia » une supplication, dans la voix, persant le besoin, l’écho d’une triomphante défaite. Le souffle qui se perd, les yeux qui s’embrument. Le voile qui se déchire. Au fond, couvant, la certitude. Il le savait. Son instinct le lui avait hurlé. Mais Casey, il avait fait l’autruche. Parce qu’ils s’aimaient ? Parce qu’ils partageaient l’indéfectible. Parce qu’elle l’avait bien floué.
⊿ au même moment ⊿
« Vous voulez aller où ? » la voix du chauffeur de taxi la tire de apathie, elle se sent pourtant encore un peu groggy. Ça lui coûte. Ça lui coûte pire qu’un bras, pire qu’un rein, son cœur. Mais, elle a peur, Amelia. Elle est indépendante de lui. Elle déteste cet entre-deux. Elle hait. Elle fuit. Elle sort de son portefeuille une liasse de billets et l’agite assez haut pour qu'elle se reflète sur le rétroviseur. « Aussi loin que ces bichons pourront m’emmener »- 200 bornes de là. Le taxiste prend le risque de perdre sa licence. Ce n’est pas un taxi comme les autres. Ce n’est peut-être même pas un taxi. Peut-être qu’elle l’a rêvé, peut-être ou peut-être pas. Elle préfère oublier, l’oublier lui. Pour aucune raison sauf « ça ». Ce « ça » qu’elle ne définit pas, trop couarde. Tant pis. Oui, c’est mieux comme ça. C'est mieux sans lui. C'est mieux ou pas. Ou pas. Ou pas.
Dakota Fitzgerald - ★★★☆☆
Like a faithful brother ❖Dakota. Un prénom qui lui vrille les lèvres d’un sourire sincère. Une personnalité détonante, impressionnante. Une amitié née d’une rencontre fruit du hasard. Un traquenard. Elle était chanteuse. Elle était surtout : talentueuse. Peut-être qu’il a cru en elle. Peut-être qu’il a vu en elle. A travers, au-delà des apparences. Il n’a pas été dupe. Il a été présent, même lorsqu’elle a entamé sa chute libre. Il s’est improvisé filet, pour la recueillir, lui éviter la rencontre douloureuse avec ce sol qui lui tendait ouvertement les bras. Son argent, sa foi. Il les lui a mis à disposition. Un soutien sans faille. Parce qu’il n’a pas jugé. Que l’idée ne lui a jamais traversé l’esprit. Parce qu’il y croyait. Leur complicité est purement fraternelle. Dakota. Une gamine paumée qui le restera à ses yeux. Il s’est depuis longtemps improvisé « repère spatial ». S’il y a bien une personne qui trouvera toujours une excuse à ses yeux, c’est bien elle.
Précision : Lorsqu’il débarquera à Lewisburg, il lui fera croire qu’il est dans les parages pour elle. Mais, Dakota verra bien un changement significatif dans sa façon de se comporter. Viendront alors les doutes et les révélations. Dakota & Casey. Ils se comprennent, voilà tout.
Dernière édition par Amelia Beckett le Dim 20 Juil - 14:18, édité 5 fois
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Sujet: Re: (M) GABRIEL MACHT Jeu 3 Juil - 16:34
≈ Casey&Amelia
l'histoire, détaillée:
≈ La rencontre
Elle. L’ennuie. La solitude. Un bottin. Un téléphone. Une nuit jeune. La vie. Une envie. Un peu comme ça, un peu pour. Pourquoi ? Rien. La liste. L’alphabet. Le hasard. Pouf. Un numéro. Le sien. Walton. Une tonalité. Une voix. Un timbre tirant vers les basses. - Casey Walton, à l’appareil. - Allô. Allô. L’assurance assassinée. - … - Est-ce que vous saviez qu’un mec, ici, à New York, a décidé de construire le plus grand village en pain d’épice ? - Vous n’avez vraiment rien à faire ? - Vous, si ? - J’apprécierai que vous mettiez fin à cet appel, mademoiselle. - Pourquoi ? Vous êtes si bien élevé que vous ne vous rabaisserez jamais à raccrocher au nez de quelqu’un ? Même lorsque ce quelqu’un vous fait une blague téléphonique, monsieur ? - Vous me faites une blague téléphonique ? - 1 tonne - Une …quoi ? De quoi est-ce que vous parlez ? - Le village en pain d’épice. - Vous plaisantez ? - Non, il s’appelle John… - Pas ça. Vous, cet appel. Allez donc enquiquiner quelqu’un d’autre. - Vous m’avez coupé la parole. Ce n’est pas très poli. Et puis, justement, je n’ai personne d’autre à enquiquiner. La personne juste avant vous dans le bottin n’a pas décroché. - Mon numéro ne figure pas dans le bottin. - Si, à la lettre W, monsieur Walton. Vous n’avez qu’à vérifier. - Et bien vous m’en apprenez une bonne. D’ailleurs, c’est ce que je vais faire.
Du bruit. Du mouvement qui lui parvient de l’autre côté de la ligne.
- Alors, Casey. - Dites donc, vous allez vite en besogne. Un sourire qu’il entend. Qui lui en tire un, de sourire. Il garde son téléphone coincé entre l’oreille et l’épaule alors qu’il met la main sur le gros bloc. - Alors, monsieur Walton. C’est mieux ? Vous ne seriez pas un brin autoritaire ? - Uniquement en intimité. Ils flirtent ? Il se le demande. Elle en fait de même. Pourquoi elle l’a appelé, déjà ? - Le village en pain d’épice, c’est vrai. Il feuillette. - Vous avez raison. Il va falloir que je remédie à ça. Merci. - Vous me remerciez, maintenant ? - C’est quoi, votre délire ? Attendez : appeler les gens à des heures discourtoises, leur parler de maisons en pain d’épice construites par des sociopathes qui n’ont visiblement rien à faire. Ça peut facilement passer pour du harcèlement. - Village en pain d’épice. - Village en pain d’épice. Dites donc, vous ne seriez pas maniaque ? - Je ne sais pas. Un peu. J’ai la fiole un brin fêlée. Je vous dérange ? Il ne sait plus quoi répondre. Il y a quelques minutes : oui, lorsqu’il était penché sur un dossier, de la paperasserie sous laquelle il croule toujours en soirée. Mais là ? - Je ne sais plus trop. - Est-ce que vous savez pourquoi les oies volent en V ? - Parce que les oies sont toutes portées par leurs efforts mutuels. - C’est exactement ça. Vous trichez. - Comment est-ce que je pourrai tricher sur un fait de culture générale ? - Vous avez beaucoup de culture générale ? - Vous, non ? … Une conversation qui dura. Longtemps. Peut-être un peu trop. Pour leur bien.
≈ La vraie rencontre Un matin. Un réveil scabreux. Un poil tôt. Neuf heures ? Dix heures moins le quart ? La tête indubitablement encore dans le cul. Le corps ankylosé par les caresses de Morphée. Une tronche de déterrée. Des cheveux en rébellion. Vodka martini écrite à l’encre invisible sur son front. Finie les soirées entre copines. La sonnerie d’une porte d’entrée. Un coup d’œil rapide à sa dégaine. Amelia, short, débardeur. Ouvrir ou ne pas ouvrir ? Tant pis, si c’est un livreur, c’est jour de fête pour lui. Si c’est le voisin, aussi, tant qu’à faire. La porte, dépourvue de judas. Elle l’ouvre à la volée pour se retrouver nez à nez ou du moins, nez à torse avec un monsieur bien élégant. L’inertie visible laissant place à l’affolement. Putain, de.quoi.elle. a.l’air ? – D’une serpillère en fin de vie, surement. Elle se retrouve à dompter sa tignasse sous le regard curieux de l’importun. - Oui ? Il reconnait la voix qu’il a entendu il y a deux semaines de cela. Deux semaines. Un seul appel. Mais, l’envie de. De savoir, tout d’abord : qui, pourquoi ? Il vient chercher des réponses. Non, il vient les empoigner. Parce que. Il a cru qu’elle rappellerait. Mais, rien. - J’ai tracé l’appel. Cela m’a pris quelques heures mais, plusieurs semaines pour me décider. Cette voix. Son regard témoigne de sa surprise. Elle y a pensé. A ça. Ce genre de moment digne des films à l’eau de chiotte, avec le propriétaire de cette voix. Le beau propriétaire de cette voix qu’elle a entendu jusque dans ses rêves après l’unique appel. Elle ne rappelle pas. Par principe. Sauf les petites vieilles auxquelles elle apporte tout son soutien et comble la solitude. Elle croit. Parce qu’elle comble surtout la sienne, de solitude. - Vous êtes un grand malade. Elle l’insulte. Et ça le fait sourire. - Alors, vous aimez ce que vous voyez, monsieur Walton ? Rincez-vous l’œil, surtout, c’est offert par la maison. Il s’éclaircit la voix, serre les mâchoires. - Si c’est gratuit. - Vous avez du culot. - Vous en avez eu aussi. - Je n’ai pas débarqué chez vous. - Touché. Ils s’étaient vues, plu. Et ils l’ont su, inconsciemment. C’était le début et à la fois, la fin.
≈ On ne va jamais aussi loin que lorsqu’on ne sait pas où l’on va.
Véridique. La curiosité. Deux mondes. Deux personnalités. Profondément différentes. Foncièrement sœurs. Des âmes engagées. Des esprits échauffés. Le défi permanent. La retenue, la folie. La passion, la connerie. La peur, la témérité. Tout dans un cocktail d’inimitié. Apprécié, haï. Elle, indépendante, inatteignable. Lui, despotique, de marbre. Un manque de chaleur malgré l’alchimie indéniable. Une décision qui tombe sous le sens. Irréfléchie mais, sincère. Des anneaux aux doigts. Des promesses. Des avis divergents, une famille intransigeante. Des doutes. La sensation de solitude, toujours présente, harassante, bouleversante. Malgré lui. L’amour, peut-être, un peu trop incommensurable. La crainte. Elle souffre d’insuffisance cardiaque, elle est incapable d’apprécier l’amour et ce qu’il a à lui offrir. Alors, de manière inattendue après des semaines à creuser la distance. Elle part. Avec sur les lèvres, la trace des mots qui ne se disent pas, qui se hurlent en silence et dans les yeux, le « je t’aime » vénéneux. Le je t’aime honteux. Le je ne te quitte pas. Le ne me quitte pas. Les faux adieux qui brillent par leur absence.
≈ Attentes
Déjà, si tu es arrivé(e) jusque là, c'est que tu apprécies mon charabia, que tu as eu le courage de lire, tout ça. Donc, merci. Ensuite, j'espère répondre à certaines de tes questions : + L'avatar est négociable. Mais, je sais pas, j'ai tellement imaginé Christopher Egan dans ce rôle précis. Après, je ne suis pas réfractaire aux négociations. Au contraire, il y a tellement d'avatars (comme : Josh henderson, Henry Cavill, Robert Pattinson, Nico Tortorella en fonction des disponibilités) + Le pseudo, même le nom est négociable. Après, c'est à toi de jouer. Simplement, oublions les pseudos abracadabrants qui manquent totalement de cohérence. + La qualité, la quantité. Je déteste qu'on puisse faire des fautes aux temps présent et imparfait. Pour le passé simple, ça se comprend mieux. Tout ça pour dire que je ne veut <= pas de ça. + La présence : correcte. Je ne demande pas un terminator de l'écriture. On a une vie en dehors du RP. Je suis consciente de cela. Après, ne pas répondre pendant une période trop longue aura certainement tendance à entraver mon inspiration. Bref : no prise de tête mais, pas d'abus quand même. La base. + La progression : Autant mettre les points sur les "i", ce lien ne suintera pas la mièvrerie. Ils seront un genre de Elizabeth Bennett & Fitzwilliam Darcy en plus enfoirés, évidemment. Le but n'étant pas d'en faire une pâle copie. Je les imagine passionnés. Un brin grossiers. Oui, parce que mademoiselle Beckett jure comme un charretier et n'a pas peur de décocher des gifles. Je veux surtout de l'incompréhension, de l'amour extrêmement vache et la revendication d'une liberté, par les deux parties. Puis, il y a cette petite différence d'âge qui aurait pu représenter un fossé auquel ils n'auraient même pas fait attention. Puisqu'il n'a su son véritable âge qu'après avoir signé les papiers du mariage. Ce qui, aurait pu, à l'époque donner lieu à une dispute phénoménale. + Après, zyva, on s'met pas la pression. On est là pour faire mumuse. Pas pour s'prendre la tête. Mais pour prendre not' pied Allez, bichette ou bichon, ramène ta fraise. On va faire du jus multivitaminé. Je te construirai un temple, dédié à ma personne pour que tu puisses me montrer ta dévotion
(M) GABRIEL MACHT
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