/some infinities are bigger than other infinities.

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crédits ~ love-willl-remember/tumblr.

ANOUK BAY ANNIGAN
❝ VINGT-ANS ≈ PRÉPARATRICE EN PHARMACIE DE NUIT. ≈ CÉLIBATAIRE ❞

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≈ the world is an imperfect place.

≈ originaire de: hollsville. ≈ date de naissance: le quinze juillet. ≈ lieu de naissance: hollsville. ≈ nationalité: américaine. ≈ orientation sexuelle: variable de l'équation. ≈ signe astrologique: cancer. ≈ depuis combien de temps vis-tu à Hollsville ? depuis toujours. ≈ qu'en penses-tu ? elle rêve de s'en échapper depuis un moment déjà. elle rêve d'afrique, elle rêve d'europe, d'un aller sans retour. ≈ quel genre de voisin es-tu ? le voisin qui prend sa douche à six heures du matin, passe l'aspirateur à sept heures du soir. ≈ groupe:from the beginning.

≈ le massacre du jeudi 18 avril 1996: Dans cette partie tu devras nous indiquer quels sont les sentiments de ton personnage par rapport à la fusillade survenue dans l'école primaire de la ville, il y a de cela dix-sept. S'il était dans cette école au moment des faits, s'il a perdu une soeur, un ami, une parti de lui-même. Ou encore, si aujourd'hui il est toujours hanté par ces terribles instant. Au cas ou ton personnage n'était pas présent ce jour-là (dans l'école ou la ville) tu peux nous parler de son implication, son sentiment face à ses événements passés et son empathie/manque d'empathie pour les victimes. Cinq lignes minimum.

≈ we're all pretty bizarre, that's all.L'on vous demande dans cette partie de décrire les habitudes de vôtres personnages. Ses tics ou ses manies, ses défauts, ses passions ou encore ses goûts. Soyez libre de nous communiquer toutes les informations que vous jugerez pertinentes, pas d'erreur possible. Nous demandons un minimum de cinq informations cependant. Allez, faites nous rêver.

Prénom/peudo: bloodybones. Âge: vingt-et-un ans. Avatar: shailene woodley. Où as-tu connu Life: sur bazzart. Fréquence de connexion: souvent. Voulez-vous être parrainé ? Écrire ici. C'est votre dernier mot ? Écrire ici.

Code:: <pris>◈ Woodley Shailene</pris> - [i]Anouk Annigan[/i]

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|► EVERYTHING THAT YOU WOULD DO it made me fall in love with you, until you left. - ashanti

« Qu’est ce que tu fais ? » Cette voix la fait sursauter, rater son trait, soupirer. Anouk quitte sa feuille du regard pour le lever vers la nouvelle venue. Une main en visière pour éloigner le soleil, elle croise deux yeux azurs d’une pureté à faire damner les saints. « Un cent mètres. » Qu’elle répond avec nonchalance, un sourire un coin des lèvres, la répartie facile. Ici, assise au milieu du cimetière, un cahier à spirale sur les genoux et un crayon en main, il est certain que l’ironie est de mise. Ça la fait sourire l’inconnue, relever ses lèvres charnues et égayer son regard. « Qu’est ce que tu dessines ? » Qu’elle rectifie finalement, en s’asseyant près d’elle, sans hésitation. Anouk n’aime pas partager. Ce qu’elle vit, elle le vit pour elle, ce qu’elle dessine, elle le fait pour elle. Pourtant, la blonde est déjà là, déjà si près, comme si elle entrerait bien plus encore. Alors Anouk incline légèrement son cahier pour lui montrer son esquisse, une grande brune, les yeux chocolat, un air mélancolique. « C’est toi ? » Ses sourcils se froncent, son regard se fait plus inquisiteur sur son dessin, y cherchant une quelconque ressemblance. « Non. » Anouk n’ajoute rien d’autre et finit par reprendre son dessin après de longues minutes de silence et d’immobilisme. L’inconnue ne part pas, elle offre son visage au soleil, les rayons illuminant ses traits, sublimant sa beauté sauvage. Pourtant Anouk l’oublie comme elle oublie le monde lorsqu’elle dessine. Il ne reste de la blonde qu’un vague souvenir empreint de mystère et un papier. Bria. Il ne reste que son visage ancré dans sa mémoire et son prénom. Bria.

« Pourquoi est-ce qu’on parle encore de moi plutôt que de Bay le bébé ? » Elle s’étouffe sur ses haricots verts et déploie un effort surhumain pour ne pas tout rendre sur la nappe préférée de mima. Anouk déteste le diner dominical mensuel chez leur mima, la faute en est de ses frères qui n’en manque pas une pour la bousculer. Encore là, avec ce vieux surnom qu’elle ne portait plus depuis qu’elle avait cessé de boire au biberon. « Qui ne l’est plus vraiment puisqu’elle est amoureuse. » Son visage s’enflamme violemment alors qu’elle rêve d’écraser ses frères contre le mur, aidé d’un tractopelle. Elle déteste quand ils font ça, se liguer contre elle, contre l’unique présence féminine de la maison. Et elle déteste plus encore ne pas pouvoir maitriser ses joues qu’elle sait affreusement rouges. Mima et son père tournent tout deux un regard inquisiteur sur elle comme si cette histoire était inscrite sur son front. « C’est un de tes camarades de lycée ? » Que sa grand-mère finit par demander, l’œil pétillant d’une complicité qui n’avait jamais existé que dans son esprit. Anouk ne sait pas quoi dire, elle ne sait pas même de quoi il en ressort. « Bria. » Que son frère entonne, brisant le silence qu’elle avait imposé implicitement. Le cœur de la jeune femme s’arrête, menaçant de ne jamais repartir. Son visage en devient livide, son souffle erratique. La peur la paralyse avant que la colère ne la libère. « Connard. » Rageuse, elle tente de cacher ses sentiments sans bien y arriver. Tous la regardent comme si elle venait de jurer. Elle se rappelle que c’est effectivement ce qu’elle vient de faire. Son regard se concentre pourtant sur son frère qui arbore ce sourire si arrogant. « Lesbienne. » Le mot fige la tablée entière et elle jurerait presque qu’il est le premier étonné d’avoir dit cela à voix haute. Mais cela n’a pas d’importance, Anouk voit rouge et se jette sur lui. Littéralement, oubliant repas, nappe et bouteilles de vin. Elle se jette sur son frère qu’elle intime de se taire à coup de poings et de dents. Il la maitrise comme il peut, véritable tornade. Il n’en faut pas moins de deux Annigan pour les séparer mais le mal est fait.

|► WHAT AM I SUPPOSED TO DO when the best part of me was always you? - the script.

« Alors quoi, j’étais qu’une putain de passade pour toi c’est ça ? » A deux doigts du cri, ses paroles sont pourtant bien intelligibles et parviennent aux oreilles de Bria. Ainsi qu’à celles de la rousse, accrochée à son bras comme si la blonde lui appartenait. Bria la regarde l’œil hagard, presque ailleurs. Il lui faut plusieurs secondes pour la replacer, comme si Anouk n’était qu’une vulgaire connaissance. C’est cela, plus que de la voir avec la rousse qui lui déchire la poitrine, ouvre un trou béant en son cœur. « Anouk ? » Déchéance. Cela ne peut être que ça, Anouk se sent tomber. De haut, de si haut. Pourtant elle touche terre violemment et se délite dans ce bar miteux. « Va te faire voir. » Lutter contre les larmes lui coute toute son énergie alors sa voix se fait murmure. « Anouk. » Plus doux est son ton, plus rapide est la descente aux enfers. La blonde se défait de la rousse d’un battement de cil pour accourir vers Anouk qui recule déjà contre le mur le plus proche. « Anouk. » Acculée, elle ne peut que la regarder s’infiltrer dans sa misère, un pas à la fois, le ton si repentant de celui qui sait qu’il a péché. « Anouk je suis désolée. » D’un baiser, elle absorbe la larme qui a roulé sur sa joue mais la tristesse est toujours là, toujours étouffante. « Anouk, ma puce. » Elle se fait enjôlante, use et abuse de son charme, de baisers et de mots doux pour la calmer. « Ma chérie, mon Anouk. » Et elle craque encore. Toujours. Elle pardonne. Aussi simplement que ça, elle pardonne entre ses bras, contre sa peau. Ses larmes se fondent dans son cou, son désespoir contre ses baisers. Bria, Bria, Bria.

« Anouk ? » Elle lève la tête pour découvrir son père planté devant son lit, l’air particulièrement furieux. Elle le voit changer d’approche au fur et à mesure qu’il prend état de la situation. Elle doit être encore plus ravagée qu’elle ne le pensait. Les yeux bouffis d’avoir trop pleuré, elle l’ignore pour se replonger dans l’apitoiement. « Anouk ma chérie. » Il hésite. Ça ne lui ressemblerait pas tant que c’en serait pathétique. En réalité, c’est tout de même pathétique. Un pas en avant, dix en arrière. C’est une cohabitation qu’ils partagent, plus qu’une réelle connexion. « C’est elle n’est ce pas ? » Un soupçon de colère se fraie dans son ton, comme s’il mener cette bataille à se place. Le regard d’Anouk se fait dur lorsqu’elle le plonge dans celui de son père. « Qu’est ce que ça peut te faire, tu la détestes. » Elle aimerait avoir l’air détachée mais ce n’est pas le cas. Son cœur à vif refuse toute autre attention que la tristesse. « Mais pas toi. » Il ne prend pas la peine de nier, persuadé d’être dans son droit. Il s’approche d’elle, s’assoit sur son lit et entreprend de la serrer dans ses bras. Un sanglot déchirant quitte les lèvres d’Anouk alors qu’elle recule vivement, se levant en vitesse. « Ne me touche pas ! » Les trémolos mettent à mal sa détermination. Pourtant, elle ne veut pas qu’il la touche. Pas lui, ce n’est pas de lui dont elle a besoin.

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Bienvenuuuuue /some infinities are bigger than other infinities. 127677823

Han c'est original comme métier, on ne voit pas ça tous les jours en rpg ^^

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SHAILENE

Bienvenue parmi nous :)

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merci beaucoup I love you

honnêtement, je cherchais un truc à lui faire faire et j'ai jeté mon dévolu sur la pharmacie /some infinities are bigger than other infinities. 2106600151

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punaise, rosamund /some infinities are bigger than other infinities. 3499305067

/some infinities are bigger than other infinities. 1657326692

merci beaucopu I love you

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SHAI+le métier, très bon choix
Bienvenue parmi nous

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Camille Witter a écrit:: Han c'est original comme métier, on ne voit pas ça tous les jours en rpg ^^

Mais tellement. /some infinities are bigger than other infinities. 1657326692

Bienvenue sur le forum, j'ai dévoré les anecdotes dans ta fiche. /some infinities are bigger than other infinities. 134494966

Je ne peux qu'approuver ton choix parfait pour l'avatar, on ne la voit pas assez souvent. /some infinities are bigger than other infinities. 3814002774

/some infinities are bigger than other infinities. 3814002774